Désigne l’extrême porosité entre les couches physiques et numériques de la ville, de sorte qu’elles ne forment qu’une seule et même couche. Cette formule vise à remplacer des expressions telles que « ville numérique » ou « ville 2.0 », en insistant sur le métissage définitif entre les objets matériels et immatériels. NB : la ville hybride est l’un des piliers de la « triforce » de pop-up urbain.
Pour aller plus loin : Espace virtuel : à qui appartient le réel augmenté ?
Voir aussi : –